LETTRE OUVERTE DE L’ACTU’ PATRIOTE AU PEUPLE FRANÇAIS…
Chers amis, camarades,
Le patriotisme nous rassemble, l’amour pour la France nous lie, et
j’espère de tout cœur que malgré le faux choix Umps ce 6 mai 2012, vous vous
êtes quand même déplacés, afin d’accomplir votre devoir de citoyen.
La crise est l’enfant naturel du mondialisme, idéologie
idolâtrant la mondialisation au lieu de la contrôler là où c’était possible,
dans certains domaines liés à l’évolution des techniques et des technologies.
Les apprentis-sorciers qui ont eu le projet de détruire les
Nations pour construire le rêve cauchemardesque du village global, l’utopie
d’un monde égalitaire - mais où tout de même, il y auraient des gens plus ou
moins égaux - sans différence de race - mais où il y en aurait qui aurait le
droit de se maintenir dans leur intégrité tandis que les autres seraient
vivement encouragés à se métisser - , sans différence de sexe, ni de religion,
ni finalement d’opinion, tous étant contraints, y compris par la loi et sous
menace de sanctions pénales de croire à la vulgate antiraciste et de se
soumettre à la Pensée
Unique.
Ces apprentis-sorciers ont conduit le monde à sa ruine, les
peuples à la misère et peut-être demain à la guerre.
L’Union Européenne a
été, en ce qui nous concerne, l’un des vecteurs de cette abomination,
sacrifiant à l’illusion qu’en unissant des faiblesses et en collectivisant les
peuples d’Europe, on arriverait à créer un état oligarchique sur le modèle
américain, sans voir, ou, pour certains en espérant la déréliction de la Nation , la suppression des
frontières, la perte de notre souveraineté politique, militaire et monétaire en
brisant le ressort national et l’homogénéité du peuple français.
Ignorent-ils, feignent-ils d’ignorer que l’oligarchie
mondialisée possède toujours deux fers au feu, qu’un Hollande peut remplacer au
pied levé un Sarkozy ou un Strauss-Kahn, sans jamais changer l’essentiel ?
Le mondialisme est en effet une idéologie, qui a pour trait
principal de nier l’utilité des nations. Livré au mondialisme, le travailleur
français est désormais placé de façon croissante en situation de concurrence
avec tous les travailleurs des autres pays et doit, face à la menace de
délocalisation, se plier aux règles de cet hypercapitalisme, dans l’espoir
incertain de conserver son emploi et son salaire.
L’entrée dans l’euro accéléra le phénomène qui, appuyé sur
l’ouverture généralisée des frontières exposant nos produits à la concurrence
de ceux des pays à bas coûts de production, vit dans le même mouvement le
chômage augmenter, la protection sociale diminuer et les délocalisations se
succéder.
L’abandon du Franc au profit de la monnaie unique a d’abord
entrainé une hausse des prix sans précédent depuis sa mise en œuvre en 2001 :
de 30 à 250% d’augmentation sur la plupart des produits de base !
Dans une Europe dirigée par la finance, les banques, cette
petite part de la population qui détient le pouvoir appelée « Elite »,
favorable à la construction de l’Europe afin de retirer le pouvoir que détenait
le peuple, voit des populations détruites sans la moindre culpabilité.
On va ainsi détruire nos traditions locales, culturelles,
culinaires, notre façon de vivre pour mieux nous préparer au grand métissage
internationaliste afin d'être identiques en tous point du globe et nous
satisfaire des standards de consommation fournis par le Nouvel Ordre Mondial.
Cette politique de suppression de nos frontières, cette
politique d’intégration mondiale de la France , elle n’est pas tombée du ciel. C’est
l’Europe qui l’a mise en œuvre.
Depuis, Nicolas Sarkozy a été élu, et il n’a de cesse de
remettre sur les rails cette Europe supranationale, pourtant sans force, sans
moteur, sans âme.
Puis la société de consommation et de loisir a explosé. La
recherche de nouveaux marchés a poussé à la mondialisation des économies, qui
s'est accélérée, sous l'impulsion des multinationales.
La classe politique a défendu et promu cette Europe-monde,
ouverte à tous les vents du dumping monétaire, fiscal et social des pays à bas
coût du travail.
Après la création d'un marché commun sans frontières, le
projet de l’Union européenne consiste désormais à instaurer une dictature
bureaucratique via le Super Etat européen.
De fait, depuis vingt ans, cette dérive centralisatrice,
elle est là et bien là, quand 33.000 fonctionnaires européens nous dépouillent
méthodiquement de tous nos instruments de gouvernement, de tous nos pouvoirs de
décision, de toute notre liberté de choix.
On nous a pris notre pouvoir fiscal de décider l'impôt,
notre pouvoir budgétaire, de dépenser notre propre argent comme nous le
voulons, notre droit de battre monnaie et jusqu'au pouvoir de faire nos lois.
Et ce que nous percevons de l’Europe ne vient pas du Ciel,
mais de ce que nous versons, nous-mêmes, nous, citoyens Français corvéables à
merci, nous contribuables pressurables à merci !
Ce que peu de gens savent, c’est que notre contribution
annuelle à l’Europe sert avant tout à notre propre destruction.
Cet acquis, cet héritage est aujourd'hui sacrifié.
C’est dans ce cadre
que s’inscrit le recours à l'immigration de travail et de peuplement, pour nous
liquider.
Alors on nous dit qu’il y aurait une pénurie de main d'œuvre
et que l’immigration planétaire permettrait de trouver une issue à la crise
économique et démographique.
Cette immigration
constituerait néanmoins, dit-on, un apport positif du point de vue économique,
social et culturel.
Mais qui peut raisonnablement le croire ?
- La société s’est appauvrie, en raison notamment du poids
croissant des immigrés qui sont à sa charge.
- En effet, nous avons accueilli 10 millions d’immigrés en
35 ans,
- L’immigration nous coûte 70 Milliards d’euros par an
Nos valeurs et notre religion sont remises en cause par
celles des immigrants, nos équipement collectifs – crèches, écoles, logements –
sont saturés, la paix civile est menacée partout, l’insécurité explose….
Qui peut croire, qui veut encore croire que l’immigration
est une chance pour la France
? A part les politiciens européistes, personne ! Dès lors, comme ce discours
n’est plus tenable, on nous en sert un autre.
On nous a fait renoncer à nos frontières nationales, en
échange, disait-on, d'une protection plus forte sur les frontières européennes.Patriote ne subissons plus le pouvoir, basculons-le coût que coût.
Valentin.D
[L'actu' patriote]
http://www.facebook.com/MON.ACTU.PATRIOTE?ref=tn_tnmn
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